Mercedes-Benz W06 : S, SS, SSK et SSKL

L’histoire de l’automobile regorge de modèles emblématiques, mais rares sont ceux qui ont autant marqué leur époque que les Mercedes-Benz W06, déclinées en versions S, SS, SSK et SSKL. Ces voitures de sport et de grand tourisme, produites de 1927 à 1932, ont non seulement dominé les courses automobiles les plus prestigieuses, mais ont aussi redéfini les standards de performance, de design et d’ingénierie automobile de l’époque. Conçus avec un double objectif –le luxe pour la route et la performance pour la course–, ces bolides incarnent l’esprit d’innovation et la quête d'excellence de la marque Mercedes-Benz. Cet article évoque l’histoire de ces légendes mécaniques, qui ont porté la renommée de la marque à l’étoile à des sommets, tout en captivant les passionnés de sport automobile du monde entier.


Mercedes-Benz Type SS (1928)


I. La Mercedes-Benz Type S (1927-1928)

1) Contexte d’apparition

L'année 1927 marque le retour en force de Mercedes-Benz dans le monde des voitures de sport de route et de circuit. Cette reconquête a réellement commencé l'année précédente avec la présentation de la Type K (1926-1927), qui se distingue de ses concurrentes, allemandes et étrangères, par l'adoption d'une innovation technique dont la marque à l’étoile est l'un des pionniers : le compresseur.

Conçue par Ferdinand Porsche et reprenant les avancées du modèle K, la Type S W06 (S pour Sport) marque en 1926 un tournant décisif pour Daimler-Benz AG née de la fusion des sociétés Daimler-Motoren-Gesellschaft et Benz & Cie en juin.

Mercedes-Benz type S avec compresseur (1927)


Bien qu'elle puisse passer pour un modèle de grand tourisme lorsqu'elle est habillée des carrosseries les plus élégantes proposées par Mercedes-Benz, cette voiture n'en est pas véritablement une. En effet, le luxueux cabriolet à la capote en toile et à l’intérieur en cuir, révèle sa véritable nature de voiture de course dès que le moteur démarre et que la voiture prend de la vitesse…

Habitacle de la Type S

Type S capotée (1928)


2) Conception

Côté design, les manquements dans la sportivité du modèle K sont comblés. Bien que l'empattement de 3400 mm soit conservé, le châssis de la Type S est nettement amélioré pour obtenir une silhouette plus basse au centre de gravité abaissé, concentré entre les essieux. Les longerons en U du châssis en acier sont renforcés au niveau des essieux avant et arrière pour permettre l’installation du moteur six cylindres suralimenté, plus volumineux, en position particulièrement basse et décalée de 300 mm vers l'arrière, le rapprochant de ce qu'on appelle aujourd'hui une configuration moteur central-avant. Le radiateur vertical, qui se dresse dans le flux d'air, est lui aussi abaissé.

Un imposant capot pour accueillir le volumineux 6 cylindres en ligne de 6,8 litres 

Calandre verticale imposante


Type S au musée de l'automobile et de la technologie de Sinsheim


Profusion de cuir, de bois et de chrome


Au final, cette voiture de course décapotable à quatre places, dont la capote légère n'est que symbolique, affiche une silhouette extrêmement compacte, voire élancée et un poids réduit de 600 kg par rapport au modèle K -1900 kg, et ce malgré l'adoption d'un moteur bien plus imposant.

Type S en version 4 places 

3) Motorisation

Le moteur six cylindres suralimenté du modèle précédent, doté d’un arbre à cames en tête entraîné par un arbre vertical, a été entièrement repensé. La cylindrée est portée à près de 6,8 litres, augmentation permise par l’adoption d’un alliage d’aluminium silumin pour le bloc moteur.

Le moteur six cylindres développe ainsi 120 ch sans mise en jeu du compresseur et 180 ch lorsque celui-ci est enclenché.


Moteur 6,8 litres de la Type S

Compresseur Roots

4) Les résultats en compétition

Dès sa première course en 1927, la version de compétition de la Type S, pilotée par le jeune Rudolf Caracciola, annonce une domination Mercedes qui se prolongera jusqu'à la fin des années 1930. La Type S s'impose dans la catégorie des voitures de tourisme et de compétition, tant sur circuit que  sur route, lors des courses de côte. Lors de la course inaugurale du Nürburgring, le 19 juin 1927, Caracciola remporte la victoire avec une vitesse moyenne de 101,1 km/h. La deuxième place revient à Adolf Rosenberger, également au volant d'une Type S. Un mois plus tard, le 17 juillet 1927, Otto Merz s'impose au Grand Prix d'Allemagne devant Christian Werner, tous deux sur une Type S. 

Préparatifs de la course inaugurale du Nürburgring (19 juin 1927)

Course du Nürburgring - Deux Type S (n° 1 et 2) et une Type K (n° 3)
Grand Prix d'Allemagne (17 juillet 1927) - Réception du vainqueur Otto Merz  

Grand Prix d'Allemagne - Voiture n° 5 d'Adolf Rosenberger

Otto Merz à l'arrivée du Grand Prix d'Allemagne


Aux côtés des jeunes talents Caracciola et Rosenberger, des vétérans comme Otto Merz, Willy Walb, Christian Werner et Ernst-Günther von Wentzel-Mosau remportent de nombreuses victoires au volant de la Type S jusqu'à la fin de la saison 1928. Les pilotes privés, tant nationaux qu'étrangers, continuèrent quant à eux, de faire briller la Type S jusqu'à la fin de 1931.

Après 146 exemplaires fabriqués, la production du châssis Type S s’achève en septembre 1928, tandis que les nouveaux Type SS et SSK, ont déjà fait sensation trois mois plus tôt avec des succès retentissants.


II. La Mercedes SS (1928-1933)

Pour prolonger la domination de la Mercedes-Benz Type S en compétition, Daimler-Benz lance en 1928 une version améliorée de la W06, nommée Type SS (Super Sport). Fidèle à l'idée que « rien ne remplace la cylindrée », le moteur six cylindres de la Type S est porté à 7,1 litres en augmentant l'alésage à 100 mm. La puissance maximale atteint alors 225 ch compresseur actif.

Le Type SS, conçu pour allier performance et usage au quotidien, est également disponible en version routière de 200 ch avec compresseur.

Mercedes-Benz Type SS (1928) dans sa version routière

Mercedes-Benz Type SS (1929)

Mercedes-Benz Type SS cabriolet carrossée par Saoutchik (1929)

Type SS au musée de l'automobile et de la technologie de Sinsheim

Moteur 7,1 litres de cylindrée de la Type SS 

Vue du moteur du côté échappement du six cylindres suralimenté de 7,1 litres



Le modèle prouve rapidement sa supériorité, notamment lors du Grand Prix d'Allemagne du 15 juillet 1928, où Rudolf Caracciola remporte la victoire, suivi par Otto Merz et Christian Werner, tous au volant de Type SS. Cette nouvelle version accumule les succès en course jusqu'en 1931, pilotée par des talents comme Ernst-Günther von Wentzel-Mosau et les Britanniques Earl Howe et Sir Malcolm Campbell.

Grand Prix d'Allemagne du 15 juillet 1928
Rudolf 
Caracciola au volant avec son copilote Heinrich Kühnle

Christian Werner et son copilote Wilhelm Traub au Grand Prix d'Allemagne 1928 

Otto Merz et son copilote Eugen Salzer au Grand Prix d'Allemagne 1928

Rudolf Caracciola (au volant) passe la ligne d'arrivée du Grand Prix d'Allemagne 1928

Rudolf Caracciola vainqueur du Grand Prix d'Allemagne 1928


Entre 1928 et 1933, 111 châssis Type SS sont produits, dont la majorité avant 1930. Le modèle marque son époque par cette rare combinaison de puissance et de confort qui attire aussi bien les amateurs de course que les passionnés de conduite sur route.


III. La Mercedes-Benz SSK (1928-1932)

1) Conception

C’est certainement la plus emblématique de la série « S ». La Mercedes-Benz SSK (Super Sport Kurz, soit Super Sport Court) est dérivée de la Mercedes-Benz SS dont elle se distingue par plusieurs améliorations clés qui la rendent encore plus redoutable sur la piste.

Mercedes-Benz SSK (1929)


La SSK est équipée d’un moteur 6 cylindres en ligne de 7,1 litres, suralimenté par un compresseur Roots. Ce dispositif, activé par le conducteur en appuyant à fond sur la pédale d’accélérateur, permet d’augmenter considérablement la puissance du moteur, qui passe de 180 ch à 250 ch grâce au compresseur activé. Cette technologie, à la pointe de l’ingénierie automobile de l’époque, donne à la SSK une accélération fulgurante et autorise une vitesse de pointe de 192 km/h !

Moteur 6 cylindres en ligne de 7,1 litres de la Type SSK


Le châssis de la SSK est différent de ses grandes sœurs. Plus court de 450 mm, il confère à la voiture une meilleure maniabilité, en particulier dans les virages serrés, élément crucial pour les courses de côte, où la SSK excelle. Avec un poids réduit à seulement 1520 kg, la voiture est relativement légère pour sa taille, ce qui contribue à ses performances. Les freins à tambour sont également de haute qualité pour l’époque, et assurent une décélération rapide et une meilleure sécurité à haute vitesse.

Type SSK et son châssis plus court de 450 mm

Type SSK au Goodwood Revival (2012)


Comme la SSK est engagée à la fois dans la catégorie des voitures de sport et dans la catégorie des voitures de course, les marchepieds, les ailes, les phares et la capote souple sont démontables.


2) Design et esthétique

La Mercedes-Benz SSK n’est pas seulement une bête de course, elle est aussi une égérie du luxe et du prestige. Son design, qui allie des lignes élégantes et une posture imposante, reflète l’esprit de l’époque qui mêle progrès, richesse et élégance.

Un cabriolet aux lignes bien équilibrées

La Mercedes-Benz type SSK du Musée Mercedes-Benz de Stuttgart dans la version pour courses
 de voitures de sport avec pare-brise, ailes, phares et deux roues de secours.


Le long capot abritant le six cylindres, les ailes avant élargies et les phares ronds emblématiques confèrent à la SSK une allure aussi agressive que raffinée. Certaines carrosseries sont de surcroît fabriquées sur mesure par des carrossiers renommés, accentuant l’exclusivité de modèles parfois uniques.

Cabriolet SSK du carrossier Papler pour le prince de Hohenlohe-Bartenstein

L’intérieur de la SSK est également très luxueux, avec des matériaux haut de gamme comme le cuir, le bois et le chrome qui confèrent à la voiture un statut de produit de luxe et d’œuvre d’art, autant que de machine de course aujourd’hui très convoitée par les riches collectionneurs.

Tableau de bord du SSK

Intérieur du SSK


Selon les registres officiels, seules 33 voitures sont produites entre 1928 et 1932, certaines d'entre elles étant destinées à la compétition et les autres au marché des voitures de sport de tourisme.


3) Un palmarès impressionnant en compétition

Dès son introduction, la Mercedes-Benz SSK domine les courses automobiles et accumule un palmarès impressionnant.

La SSK performe notamment lors de la course de côte de Semmering en Autriche en 1930 que remporte Rudolf Caracciola avec une maîtrise remarquable qui met en avant la maniabilité et la puissance exceptionnelles de la SSK dans les conditions difficiles.

Course de côte de Semmering (14/09/1930) - Voiture n° 83 pilotée par Rudolf Caracciola
Course de côte de Semmering -  Manfred von Brauchitsch finit deuxième derrière Caracciola

Un autre exploit marquant de la SSK est sa victoire au Grand Prix d’Irlande le 19 juillet 1930. Caracciola y prouve encore une fois ses compétences et les capacités de la SSK sur un parcours réputé pour ses virages serrés et ses dénivelés.

Rudolf Caracciola remporte le Grand Prix d'Irlande le 19 juillet 1930

En 1931, la SSK remporte  un autre événement majeur de l’époque, la course de côte du Mont Ventoux, en France. Les résultats de la SSK dans ces courses de côte, où les mécaniques sont souvent malmenées sur des pentes raides et dans des virages étroits, a confirmé sa supériorité technique et son ingénierie de pointe.

Ces succès en compétition renforcent la réputation de la Mercedes-Benz SSK en tant que voiture de sport et contribuent à établir la marque à l’étoile comme un leader des constructeurs de voitures de course.


4) Un modèle particulier : la SSK Comte Trossi de Ralph Lauren

L’homme d’affaire et styliste américain possède une des plus importantes collections privées au monde avec plus de 70 voitures de légendes, parmi les plus chères et les plus rares. Au sein de cette collection remarquable, deux Mercedes-Benz occupent une place de choix : un 300 SL papillon et un SSK unique.

SSK Comte Trossi dans sa carrosserie noire(1930)

Le châssis SSK « 36 038 », actuellement propriété de Ralph Lauren, n’a pas trouvé preneur à sa sortie d'usine durant l’été 1930. Expédié au Japon à la recherche d’un providentiel client, il retourne à Rome où il est vendu au comte Carlo Felice Trossi, un aristocrate et grand industriel italien, lui-même talentueux pilote de course. Cette voiture est le fruit de l’imagination du carrossier britannique Willy White sur commande du comte Trossi. Sa carrosserie noire spéciale et unique est superbement profilée.


Magnifique poupe profilée




Moteur 7,1 litres, 300 ch (moteur de la Type SSKL)

Quelques années après son acquisition, Ralph Lauren en confie la restauration à l'incontournable Paul Russell en 1992. Neuf mois plus tard, elle remporte le prestigieux titre de « Best of Show » au concours de Pebble Beach 1993.


IV. La Mercedes-Benz SSKL (1931)

1) La conception

La Mercedes-Benz SSKL (Super Sport Kurz Leicht, Super Sport Court et Léger), biplace lancée en 1931, est l'ultime évolution de la série W06. Elle est produite à quelques unités pour la seule compétition alors que, malgré les nombreuses victoires de la SSK en course, le projet W06 commence à montrer des signes de vieillissement qui rendent nécessaires des améliorations pour rivaliser avec les Alfa Roméo et Bugatti.

La SSKL est reconnaissable à ses trous dans le châssis


Ferdinand Porsche ayant quitté Mercedes-Benz, il est remplacé par Hans Niebel, ingénieur talentueux et directeur du développement de Daimler-Benz. Dotée d'un moteur six cylindres suralimenté de 7,1 litres, la SSKL est optimisée pour la compétition avec une puissance portée de 240 ch à 300 ch avec la suralimentation, qui la propulse à une vitesse maximale de 235 km/h !


SSKL au salon d'Essen (2005)


Côté châssis, Hans Niebel prend celui du SSK qui est allégé de manière significative en réalisant une série de perforations, grandes et petites, dans les éléments porteurs et non porteurs du châssis, de la sous-structure de la carrosserie et certaines parties amovibles. L'épaisseur des parois des profilés en U du cadre en acier est également réduite. Ces modifications permettent un gain de 125 kg, ramenant le poids total à 1352 kg. Le rapport puissance/poids de seulement 4,5 kg/ch fait de la SSKL une véritable bête de course qui, entre les mains de pilotes talentueux, est presque impossible à battre, notamment dans les courses de côte et sur route.


2) La SSKL en compétition

La supériorité de la SSKL se manifeste immédiatement, dès le début de la saison 1931. Lors de sa première apparition aux Mille Miglia, la célèbre épreuve de 1000 miles à travers l'Italie, Rudolf Caracciola prend la première place devant toutes les écuries italiennes et devient le premier pilote non italien à remporter la course Brescia-Rome-Brescia.

Rudolf Caracciola et Wilhelm Sebastian au départ de la course Mille Miglia en 1931 à Brescia. 


La SSKL au col de Raticosa lors de la course Mille Miglia en 1931

L'équipe gagnante Caracciola/Sebastian franchit la ligne d'arrivée des Mille Miglia 1931


En 1931, la SSKL accumule d'autres victoires, tant dans les courses de côte internationales du Championnat d'Europe que sur circuit, comme lors de la course de l'Eifel au Nürburgring et du Grand Prix d'Allemagne, également sur ce circuit. Caracciola triomphe avec la SSKL face à des pilotes renommés tels que Louis Chiron et Achille Varzi sur Bugatti T51, ainsi que Tazio Nuvolari sur Alfa Romeo 8C 2300, et lors de l'Avus à Berlin. Outre Caracciola, Manfred von Brauchitsch et Hans Stuck sont également des pilotes talentueux au volant de la SSKL.

Rudolf Caracciola - Victoire dans la course Avus à Berlin, le 2 août 1931.

Essais du Grand Prix d'Allemagne (1931)

Rudolf Caracciola avec son copilote Wilhelm Sebastian remportent le Grand Prix d'Allemagne, le 19 juillet 1931 


À l'issue de cette première saison impressionnante, Rudolf Caracciola décroche le titre de Champion d'Europe des courses de côte dans la catégorie des voitures de sport.


3) Une version spéciale : la SSKL Stromlinie

Malgré les succès de la Mercedes-Benz SSKL en 1931, le développement rapide du sport automobile exige une évolution dès l'année suivante. Cette fois, ce n'est pas Daimler-Benz qui initie ce changement, mais Reinhard Freiherr von Koenig-Fachsenfeld. Ce pionnier de l'aérodynamique conçoit une carrosserie profilée en aluminium pour le SSKL, destinée à la course de l'Avus à Berlin en mai 1932. Convaincu de ses avantages, il fait monter cette carrosserie sur le châssis du SSKL par les établissements Vetter de Cannstatt près de Stuttgart. Bien que sa silhouette lui vaille le sobriquet de « cornichon », elle permet de réduire la résistance à l'air de 25 %, et d’augmenter la vitesse de pointe de 20 km/h. 

SSKL Stromlinie - Carrosserie en aluminium non peinte

Le 22 mai 1932, Manfred Von Brauchitsch, alors pilote officiel de l’écurie allemande, remporte le Grand Prix d’Allemagne sur le circuit de l’Avus de Berlin devant Rudolf Caracciola alors intégré à l'écurie italienne Alfa Romeo.

Carrosserie profilée

Manfred von Brauchitsch remporte la course de l'Avus de Berlin le 22 mai 1932 à une vitesse
moyenne de 194,4 km/h
 

Le journaliste Paul Laven, présent pour commenter la course surnomme la SSKL, présentée dans sa carrosserie en aluminium non peinte, la « Flèche d'argent » ! La SSKL Stromlinie est désormais considérée comme le lien entre les classiques Mercedes-Benz à six cylindres suralimentés et les Flèches d'Argent utilisées à partir de 1934.


V. Principales caractéristiques techniques des W06 



Les Mercedes S, SS, SSK et SSKL ont marqué l'histoire de l'automobile en tant que voitures de sport légendaires des années 1920 et 1930. Conçus par Ferdinand Porsche, ces modèles ont dominé les compétitions grâce à leur puissance, leur maniabilité et leur robustesse. Leur héritage se perpétue à travers la Mercedes-Benz W29, qui a succédé à ces pionnières en 1934. La W29, aussi connue sous le nom de 500 K, continuera de repousser les limites de la performance et du luxe en parachevant l’image d'excellence technique de la marque à l’étoile. Une autre histoire…


Auteur de l'article : Alain Lemercier

Remerciements à Arnaud Halley pour son travail de relecture.



Commentaires

  1. Très bel article, bien documenté sur un modèle peu connu de la marque à l'étoile.

    RépondreSupprimer
  2. Merci Alain nous connaissons tous ces modèles emblématiques de la marque mais rarement leur véritable genèse et leur histoire
    Document à conserver !!!

    RépondreSupprimer
  3. Belles rares étoiles

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Articles les plus consultés

Mercedes-Benz R230, premier SL dénué de capote : une révolution ?

La Mercedes-Benz SL R129

Mercedes SLR McLaren : 20 ans déjà !

Pagode : temple automobile ?